Priez pour le pauvre chien-loup Sa louve est partie Il la cherche comme un fou De fermes en prairies Mais le fleuve est en crue Et les routes inondees
Le souvenir tout comme une berceuse A noue le fil d'or des annees d'autrefois Quand je trainais dehors mon ame paresseuse Et sans craindre le chaud,
Quelle importance le temps qu'il nous reste Nous aurons la chance de vieillir ensemble Au fond de tes yeux vivra ma tendresse Au fond de mon c?ur vivra
(Ecoutez l'histoire etrange L'aventure surnaturelle Ou l'on voit des anges Conduire un autre ange au ciel) Il a regarde Maria Il lui a dit "Prie pour
Les enfants qui pleurent Ne sauront jamais Ni compter les heures Ni le temps qu'il fait J'ai connu Martine Elle avait treize ans Quand sonnaient matines
Ce long voyage est fini Je me retrouve au pays C'est d'un pas leger que je me dirige chez moi J'avais peur que tout me soit etranger Mais rien ne semble
Dans nos c?urs, pas d'erreur En amour, on compte vite Adieu les mathematiques ! Plus question d'addition De virgule ou de problemes Tout est simple quand
Depuis quelques jours je vis dans le silence Des quatres murs de mon amour Depuis ton depart l'ombre de ton absence Me poursuit chaque nuit et me fuit
Le train dans la plaine Ne s'arrete pas Il n'a pas le temps Il va trop loin pour moi {x3} Le train dans la plaine Est couvert d'oiseaux Qui s'en vont
Mama Leone, Mama Leone, au bar de l'amitie, Mama Leone, tu nous pardonnes : on n'a jamais paye, Mama Leone, mais on chantait et tu aimais bien ca. Les
C'etait un gamin, un gosse de Paris, Pour famille il n'avait qu' sa mere Une pauvre fille aux grands yeux rougis, Par les chagrins et la misere Elle
Une chanson douce Que me chantait ma maman, En sucant mon pouce J'ecoutais en m'endormant. Cette chanson douce, Je veux la chanter pour toi Car ta peau
Mon gentil pecheur, Ramene tes filets Ton c?ur est ailleurs Ca ne mordra jamais L'amour empeche D'y voir clair Et tu es amoureux, La grande peche Dans
Dis-moi pourquoi tu pleures enfant, De pleurer tu as bien le temps Tu sembles avoir tres peur de l'orage J'en avais aussi peur a ton age Mon enfant {
Ou es-tu passe, mon passe Perdu dans les gorges de la Chiffa ? Le ruisseau oublie la guerre L'eau coule comme naguere Les enfants ne font plus de grimaces
La verite nous vient du Nord Les soirs d'hiver quand le vent crie plus fort Elle vient du Sud les jours d'ete Quand les cigales ont le c?ur a chanter
Tout arrive quand on y croit L'impossible n'existe pas L'age tendre ne revient pas Sans attendre, va devant toi Loin, loin ou le vent t'emmene Va loin
Quand le blues etait vivant A la Nouvelle-Orleans, Qu'on chantait la Terre promise Dans le calme des eglises Sur le Mississippi, des noirs, dans un