dA©cevant Au regard des fantA'mes du soir Les spectres faisant la danse des loups Les anges sont-ils devenus fous? Aimer en bA©nissant La voix qui pleure
de hanches. Fuyez des palais morts combl's par les barbares. Tas de chiennes en rut avaleuses de l'zard, Vos cris sans voix percent les betisses du dehors
ta langue lape l'impossible Soit l'enfant perdue qui m'attire Nuit androgyne Susurre mes prA©noms d'anonyme Nuit androgyne Soit l'enfant en pleurs qui
une seule et meme Eglise Retrouver l'essentiel Et faire Que les silences se brisent En haut des barricades Les pieds et poings lies Couvrant les fusillades
'ai gagne souvent Ce soir, je pousse de ma canne Les feuilles des platanes Sous les bancs de ciment Dans les odeurs de cigares Et le bruit des guitares De mes petits enfants
soir Odessa s'endort sous le ciel LISA c'est partout les memes Les fumees des avions T'es juste du mauvais cote de l'horizon Les seuls trains qui partent
?crase l'alentours Nulle fleur ne danse Entre les dalles de la cour Ou Madeleine marche Dans sa robe de patriarche... froissee La voix d'un homme dans
comme des masques me fait l'effet repugnant, que faire semblant, c'est dans l'air du temps. refrain : Passe, passe, passera la derniere restera L'enfant
le sourire d'un enfant quand il ecrit ses premiers vers, J'irais faire slamer les ecoles tant que ce cadeau me sera offert, J'irais faire slamer les prisons
ecouter les gens Tu m?apprendras a m?inquieter J?espere que tu seras indulgent Je t?enseignerai la prudence Tu m?apprendras l?incertitude Tu m?apprendras les
terre pour s'aimer Les forts s'font rare Les faiblesses voient leurs fin d'laisse Quand j'les deal ca fais mal parce qu'les faits blesse Du rap conscient meme a l
enfant Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant Ou etre le pliage d'un gamin de huit ans Et voler dans les airs sous les rires des enfants Ou etre
seulement ma voix qui chante. C'est l'autre voix, une foule de voix, Voix d'aujourd'hui ou d'autrefois, Des voix marrantes, ensoleillees, Desesperees, emerveillees, Voix
a retourner ma veste. Enfant du peuple, je suis ne je le reste, je n'ai jamais subis l'influence des terres de l'Ouest. J'aime les femmes qui m'accompagnent
Si tu aimes les soirs de pluie Mon enfant, mon enfant Les ruelles de l'Italie Et les pas des passants L'eternelle litanie Des feuilles mortes dans le
trop de tourments ne les garde pas pour toi Va le dire a ta maman les mamans c'est fait pour ca Et la, blotti dans l'ombre douce de ses bras Pleure
tous les crews lestes au fond d'une riviere. Moi j'ai pas une voix d'miel, j'ai pas d'e-mail, j'torpille l'industrie, j'pille, fonctionne a la Master
je t'aime j'ai l'impression que l'on n'existe plus j'ai peur que tu ne te souviennes plus de mon nom de ma voix nos envies tous les deux de notre histoire