Lời bài hát: Eths. Infini.
C'est la que tout recommence.
Etranges murs susurrent a nos oreilles.
Elle est la attend l'eveil.
Mais tout a commence et tout recommence.
On a cache quelques morceaux de tete.
Dans sa boite, bien intacts et mangeables.
Je deteste rendre sur elle; je fixe sa bouche.
Bientot, je sors ma langue.
Necrophores.
Ils adorent, epier, regarder, examiner.
Si rien n'a bouge.
Ne te reveille pas!
Ceux qui marchent dans le noir.
Te scrutent, te devisagent, penible songe.
Informe image de leur sillage.
Ils deambulent sans pied.
Leurs jambes exsangues.
Moi je les connais bien!
Ils te passent, se lassent, t'assujettissent.
Tes nuits glissent, se suivent.
Leurs sangs s'unissent.
Sans saveur.
Ton sauveur, effervescente absence.
Vous n'existez pas!
Ils proferent lentement, l'anatomie aqueuse se dessinera.
Son ventre se decharge vers le bas.
La folie s'ecoulant sur ses genoux delicats.
Quel sinistre corps, la veuve se pleure d'un organe perdu.
Dehors.
La realite l'effleure: elle chute, se cogne.
Maltraite ses yeux suintants, palpe ses levres encore chaudes.
Liquide brulant.
Dormir.
Aspire le suc des dieux, aime ca!
Tu n'existes pas.
Ils te passent se lassent t'assujettissent.
Tes nuits glissent, se suivent.
Leurs sangs s'unissent.
Sans saveur.
Ton sauveur, effervescente absence.
Vous n'existez pas!
Dis moi, pourquoi tes yeux s'inondent?
Pleure pas!
Tout ca n'existe pas!
Dis moi, pourquoi ces tetes immondes?
Pleure pas, ce soir!
Tout ca n'existe pas!
Etrange femme murmure a mon oreille.
Elle est la, sur moi veille.
Ca n'a pas de sens et tout recommence.
Leurs danses lascives s'attardent sur toi, touche les, ils sont pour toi!
Leche les grands, leche dedans!
Aussi vrai que toi, ils sont si vivants.
Pur sang d'enfant.
Leurs bouches salivantes avalent les indices.
D'une douce torture.
Violente est l'ire!
Leurs membres tombent.
Sur ta fleur a demi morte.
Ne pleure pas!
Tu seras toujours la suivante!
Tu ne reves pas!
(Merci a Laetitia pour cettes paroles)
Etranges murs susurrent a nos oreilles.
Elle est la attend l'eveil.
Mais tout a commence et tout recommence.
On a cache quelques morceaux de tete.
Dans sa boite, bien intacts et mangeables.
Je deteste rendre sur elle; je fixe sa bouche.
Bientot, je sors ma langue.
Necrophores.
Ils adorent, epier, regarder, examiner.
Si rien n'a bouge.
Ne te reveille pas!
Ceux qui marchent dans le noir.
Te scrutent, te devisagent, penible songe.
Informe image de leur sillage.
Ils deambulent sans pied.
Leurs jambes exsangues.
Moi je les connais bien!
Ils te passent, se lassent, t'assujettissent.
Tes nuits glissent, se suivent.
Leurs sangs s'unissent.
Sans saveur.
Ton sauveur, effervescente absence.
Vous n'existez pas!
Ils proferent lentement, l'anatomie aqueuse se dessinera.
Son ventre se decharge vers le bas.
La folie s'ecoulant sur ses genoux delicats.
Quel sinistre corps, la veuve se pleure d'un organe perdu.
Dehors.
La realite l'effleure: elle chute, se cogne.
Maltraite ses yeux suintants, palpe ses levres encore chaudes.
Liquide brulant.
Dormir.
Aspire le suc des dieux, aime ca!
Tu n'existes pas.
Ils te passent se lassent t'assujettissent.
Tes nuits glissent, se suivent.
Leurs sangs s'unissent.
Sans saveur.
Ton sauveur, effervescente absence.
Vous n'existez pas!
Dis moi, pourquoi tes yeux s'inondent?
Pleure pas!
Tout ca n'existe pas!
Dis moi, pourquoi ces tetes immondes?
Pleure pas, ce soir!
Tout ca n'existe pas!
Etrange femme murmure a mon oreille.
Elle est la, sur moi veille.
Ca n'a pas de sens et tout recommence.
Leurs danses lascives s'attardent sur toi, touche les, ils sont pour toi!
Leche les grands, leche dedans!
Aussi vrai que toi, ils sont si vivants.
Pur sang d'enfant.
Leurs bouches salivantes avalent les indices.
D'une douce torture.
Violente est l'ire!
Leurs membres tombent.
Sur ta fleur a demi morte.
Ne pleure pas!
Tu seras toujours la suivante!
Tu ne reves pas!
(Merci a Laetitia pour cettes paroles)
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